Kinésiologie & Massages en conscience

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La naissance de la kinésiologie en quelques dates…

En 1930, l’ostéopathe Chapman, établit une correspondance entre la stimulation de points précis du corps (points réflexes de Chapman) et l’amélioration du drainage lymphatique de certains organes.

En parallèle, le chiropracteur Benett met également en place une liste de points réflexes stimulant le flux sanguin vers l’organe associé (points réflexes de Benett).

En 1932, RW Lowett, orthopédiste de Boston et spécialiste de la polio, invente un test musculaire quantitatif destiné à évaluer la force du muscle.

En 1960, le Dr. George Goodheart, chiropracteur à Detroit, découvre que tout stress ou déséquilibre fait baisser le tonus d’un muscle. Il établit une corrélation entre la stimulation des points réflexes de Chapman et de Benett, et le renforcement des muscles en état de faiblesse.

Il met alors au point un test musculaire qualitatif : ‘le test musculaire utilisé
aujourd’hui en kinésiologie’
qui sert d’indicateur pour évaluer l’intégrité
énergétique des différents systèmes, notamment celui des méridiens.

Il publie un ouvrage de recherche sur le renforcement des muscles par la stimulation manuelle des points d’acupuncture, créant ainsi la Kinésiologie Appliquée, réservée à l’époque au corps médical.

En 1970, afin de rendre plus accessible la kinésiologie appliquée, le Dr John Thie, élève du Dr Goodheart, publie un livre « Touch for Health » (santé par le toucher). Il donne ainsi les outils pour mettre en évidence les endroits de blocage de l’énergie vitale et la façon de rétablir la circulation énergétique, vasculaire et lymphatique.

En 1980, des collaborateurs de John Thie, dont Gordon Stokes, Daniel Whiteside et Candace Callaway démontrent que de nombreux problèmes physiques ont une origine émotionnelle, ils mettront donc au point la méthode « One Brain » appelé aussi « Concept 3 en 1 », qui permet notamment de désarmorcer les émotions du passé, qui bloquent les perceptions du présent.

Début des années 80, naîtra également la kinésiologie éducative le « Brain Gym » mise au point par Paul Dennison ou il élabore des techniques réservées aux personnes ayant des difficultés d’apprentissage, facilitant ainsi l’intégration des différentes zones cérébrales par des mouvements spécifiques.

Depuis, bien d’autres branches de la kinésiologie se sont développées.

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